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posted 6 years ago

Responsible according to § 6 MDStV:

Nicola Beller Carbone
Lanzstrasse 32
68775 Ketsch

nicola@nicolabellercarbone.com

 

Suscription

communication concept, project leader, editorial stuff: die.mARkTfrau – Susanne Petridis

web- & graphicdesign: Sascha Milivojevic

webpagephotography:  Juan Martin

jewellery: Giò Carbone, Juan Gil, Giampaolo Gallegari

 

stage photos & portrait photos: Javier des Real, Klaus Lefevbre, Wildfried Höls, Detlef Kurth, Franco Lanino, Alain Hanel, Máximo Parpagnoli, Diana, Thilo Ben, Monika & Karl Forster
Juan Martin,
Hagen Schnaus, Adrienne Meister,

translation: Michael Scuffil

editor: Georg F. Kühn

 

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“La dirección de escena corrió al cargo de Nicola Beller Carbone, a quien todos conocen en sus facetas de cantante y docente. Da la sensación de que su recorrido por los escenarios del mundo, desde la Deutsche Oper Berlin hasta la Ópera de Lyon, han conformado una visión espacial y una sabiduría innata a la hora de mover los elementos escénicos que la March proporciona. Domitila habla desde el exilio emocional y Beller Carbone propone multiplicidad de máscaras en el vestuario y un simbolismo continuo, pero asequible, que marcan los distintos elementos, como las cuerdas. El espectáculo emocionó y convenció, y en el aplauso se percibió un cierto toque reivindicativo: el de la defensa de la ópera de cámara, de la ópera reciente, de la ópera latinoamericana.”

Opera Actual, 30.9.2024, Mario Muñoz
Domitila, Joao Guilherme Ripper
Fundacion Juan March, Madrid

“Se benefició de un montaje escénico muy acertado de Nicola Beller Carbone con escenografía de Carmen Castañón y un atractivo vestuario de Pier Paolo Álvaro y Roger Portal.”

scherzo.es, 23.09.2024, Tomas Marco
Domitila, Joao Guilherme Ripper
Fundacion Juan March, Madrid

“Nicola Beller Carbone ha decidido plantear una narración muy rica de ideas, contrastada y colorista, que va mucho más allá de lo que en realidad es un monólogo… inteligente inmersión en conductas, hechos, recuerdos a través de un montaje de enorme riqueza conceptual que proyecta ese limitado mundo epistolar hacia trascendentes y universales definiciones, más o menos inconcretas, que dejan abierta la mente y buscan el desasosiego.”

beckmesser.com, 24.09.2024, Arturo Reverter
Domitila, Joao Guilherme Ripper
Fundacion Juan March, Madrid

“La puesta en escena es responsabilidad de Nicola Beller Carbone, conocida por ser una todoterreno en los escenarios, valiente y casi temeraria; y puede decirse que su propuesta es fiel reflejo de su personalidad”

Plateamagazine.com, 30.09.2024, Enrique Bert
Domitila, Joao Guilherme Ripper
Fundacion Juan March, Madrid

“Après l’opéra social de Sebastian Rivas récemment créé à Lyon, on retrouve Nicola Beller Carbone dans le rôle plus libre et plus fantasque de Frau von Luber. Le volume et l’incarnation sont ici au rendez-vous d’un numéro d’actrice remarquable.”

wanderersite.com, 18.04.2024, David Verdier
Der Silbersee, Kurt Weill
Opera national de Lorraine

“Frau von Luber, gesungen mit dramatischer Stimme von Nicola Beller Carbone”

klassik-begeistert.de, 18.04.2024, Jean-Nico Schambourg
Der Silbersee, Kurt Weill
Opera national de Lorraine

“Nicola Beller Carbone se charge de la malfaisante Madame von Luber d’une voix percutante.”

www.classykeo.com, 16.04.2024, Damien Dutilleul
Der Silbersee, Kurt Weill
Opera national de Lorraine

Aus dem spielfreudigen und sprachversierten Ensemble ragt Nicola Beller Carbone als Madame von Luber heraus.”

nmz.de, 17.04.2024, Joachim Lange
Der Silbersee, Kurt Weill
Opera national de Lorraine

“Le rôle de Sylvie, écrit pour la voix de mezzo-soprano de Nicola Beller Carbone, occupe bien évidement le premier plan. Il alterne trois registres : parlé dans les passages d’action et de récit, parlé-chanté pour exprimer l’immersion du personnage dans ses angoisses et ses abîmes cauchemardesques, et enfin chanté dans les rares passages d’évasion hors du réel. Vibrato dosé, grande attention aux transitions entre les trois registres : la chanteuse excelle à jongler entre toutes ses « voix »”.

classykeo.com, 29.03.2024, Pierre Giangobbe
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

“La mezzo-soprano Nicola Beller Carbone donne à son personnage une incarnation vraiment touchante, construite sur une écriture où le langage parlé prend l’essentiel de l’espace expressif et limite le chant à des moments de tension extrême comme si la voix tentait de lutter pour pouvoir s’épanouir. Cadrée de face par l’objectif de la caméra, elle témoigne d’une lente descente aux enfers qu’on suit narrativement en remontant vers le geste de l’agression envers le patron harceleur.”

Altamusica, 18.03.2024, David Verdier
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

“Celle qui porte toute la représentation sur les épaules est Nicola Beller Carbone. Elle incarne jusque dans la profondeur des os cette Sylvie, cette femme ordinaire qui en sort par son acte libérateur – mais répréhensible. Même les gros plans projetant son visage à maintes reprises ne laisse jamais voir l’interprète mais bien le personnage. La diction est exemplaire, tant dans le parlé que le chanté ou l’entre-deux. Elle passe d’ailleurs de l’un à l’autre, parfois dans la même phrase, avec naturel – peut-être davantage grâce à son talent que la partition – et incise les mots par sa verve. Jamais excessive, jamais retenue, elle nous porte et nous emporte avec un talent remarquable. Quant à son soprano, il se plie lui aussi au personnage, sans envolé inapproprié, avec la rudesse, la force et les fragilités de la femme de 53 ans d’aujourd’hui.”

Opera-online.com, 17.0302024, Elodie Martinez
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

“La tension extrême du récit à la première personne, de cette confession éperdue, est renforcée par le jeu très poignant de l’unique chanteuse, la soprano Nicola Beller Carbone, à la voix puissante et ample, qui sait admirablement traduire tout à la fois son aspect physique volontairement stéréotypé et la profondeur de son désarroi face à son acte.
Le ton est monocorde mais l’angoisse surgit sans cesse dans ces longues phrases musicales qui entrecoupent le récit.”

Cult News, 19.03.24, Helene Adam
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

” L’ouvrage en création, à la coupe implacable, met surtout en avant les capacités d’une seule artiste, en l’occurrence la soprano à fort tempérament, Nicola Beller Carbone. Cest un thriller opératique qui exige de la chanteuse un vrai talent d’actrice car elle parle au moins autant qu’elle chante ;  elle « se raconte » et témoigne tout du long, comme si en s’adressant aux spectateurs, elle répondait au policier chargé de l’enquête suite à son arrestation…”

Classiquenews.com, 18.03.2024, Alexandre Pham
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

“Sylvie Meyer est incarnée puissamment par la soprano Nicola Beller Carbone, qui lui insuffle une densité et une intensité humaines remarquées. D’une présence hypnotique saisissante du début à la fin, elle sait rendre les ambigüités du personnage, ses failles, ses colères, ses faiblesses aussi. La voix est virtuose à sa manière, avec la plus grande palette expressive qui soit : d’une belle voix sombre et habitée, le chant est expressif toujours et lyrique un bref instant nostalgique.”

Olyrix, 18.03.2024, Joël Heuillon
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

” Sylvie Meyer est campée par Nicola Beller Carbone, qui prête à l’héroïne une belle présente scénique et les fêlures de la maturité de son grand soprano.”

Diapason, 18.03.2024, Benoît Fauchet
Otages, Sebastian Rivas
Opera de Lyon

“Fabulosa la Fabia interpretada por  la soprano alemana Nicola Beller Carbone, por la voz y sobre todo por su trabajo actoral impecable”

Agencia mundial de prensa, 7.10.2023, Teresa Fernandez Herrera
EL CABALLERO DE OLMEDO, ARTURO DIEZ BOSCOVICH
TEATRO DE LA ZARZUELA, MADRID

“La alcahueta Fabia, figura inspirada en la Celestina, se benefició de las buenas dotes caracterizadoras de Nicola Beller Carbone, siempre atenta a los matices y a aprovechar cada segundo que permanece en escena.” 

Codalario, 9.10.2023, Raul Chamorro
EL CABALLERO DE OLMEDO, ARTURO DIEZ BOSCOVICH
TEATRO DE LA ZARZUELA, MADRID

Nicola Beller Carbone, soprano, como Fabia. Conocidísima en La Zarzuela ya que ha llevado a cabo varios títulos de diferente índole y dificultad, se me antoja ideal para el personaje, difícil de tesitura y métrica, así como comprometido en lo actoral en grado sumo. Beller Carbone sale airosa del desafío con mucho oficio, un instrumento interesantísimo de lírica pura, que brilló mucho en sus escenas mas “sobrenaturales” ya que Fabia es una mezcla de alcahueta y nigromante la mar de interesante. Muy expresiva, contundente en sus intervenciones, cargada de prestancia en lo musical, y especialmente afortunada en el fraseo, redondeó de manera impecable uno de los bombones de la obra.”

Yovoyal teatro, Blogspot, 9.10.2023, Jonathan Fernàndez
EL CABALLERO DE OLMEDO, ARTURO DIEZ BOSCOVICH
TEATRO DE LA ZARZUELA, MADRID

“Expresiones que Beller Carbone, que es una gran y completísima actriz, respetó cuidadosamente en una exposición muy fiel a la letra y al espíritu, con movimiento continuo, con trasiego de actitudes, con cambio de vestuario, con gimnasia corporal incluida (cantar debajo del piano, por ejemplo).”

Beckmesser, 23.01.2023, Arturo Reverter
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC
GARAJE LOLA, MADRID

NBC Maneja una técnica muy sólida que le permite frasear con desahogo y elegancia y establecer una línea vocal muy exigente poblada de saltos interválicos y de pasajeras disonancias en el ágil y contrastado lenguaje, de raíz tonal, del compositor, que describe de mano maestra a través de un discurso sin desmayo el drama de la mujer que se siente abandonada”

Beckmesser,23.01.2023, Arturo Reverter
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC
GARAJE LOLA, MADRID

“Beller Carbone, como primera priora, aportó al  personaje toda la carga dramática que ella sabe administrar, sin histrionismos, haciendo que su voz y su fraseo transmitieran todo el peso de ese momento en que se enfrenta a la  muerte sumida en las dudas sobre lo que vendrá después.”

Beckmesser, 27.06.2022, Andrés Moreno Mengibàr
DIALOGUES DES CARMELITES, FRANCIS POULENC
TEATRO VILLAMARTA JEREZ

 ” Siguiendo con actuaciones destacadas hay que mencionar la impactante interpretación de la agonía de la priora, madre Henriette de Jesús, papel adjudicado a la soprano alemana Nicola Beller Carbone que alcanzó el mayor grado de desgarrada dramaticidad de toda la función, expresando la máxima desesperación en su agonía, momento en que música y palabra se implementaban en un altísimo nivel estético.”

Codalario, 29.06.2022, José Antonio Cantòn
DIALOGUES DES CARMELITES, FRANCIS POULENC
TEATRO VILLAMARTA JEREZ

“Pondríamos por encima, con excelente nota, a la anciana priora de Nicola Beller Carbone, expresiva, lacerante, angustiada, que marcó con tino los exigidos contrastes y mantuvo una emisión bien controlada de su voz de soprano consistente y adecuadamente apoyada. Afinación y claroscuros de gran nivel. Bordó la escena de su muerte y contó en este caso con estupenda colaboración desde el foso.”

Scherzo, 27.06.2022, Arturo Reverter
DIALOGUES DES CARMELITES, FRANCIS POULENC
TEATRO VILLAMARTA JEREZ

” Ebenso Nicola Beller Carbone. Die ist als Mutter Natascha nicht greller Klytämnestra-Abklatsch, sondern gerade in der Ruhe, in der stillen Vehemenz eindrücklich.”

Der Merkur, 22.05.22 Markus Thiel
BLUTHAUS, GEORG - FRIEDRICH HAAS
BAYERISCHE STAATSOPER MÜNCHEN

„ Su fuerza interpretativa nos sobrecoge no sólo musicalmente, que parece ser su medio natural de expresión, sino como actriz que transita por todas las emociones que este texto propone. Nicola Beller nos regala una interpretación del personaje lleno de fuerza y debilidad, nos muestra la fragilidad de una mujer que se agarra a su deseo Con la complejidad de esta propuesta, en la que el personaje está sola en escena accionando y reaccionando con un amante y otras interferencias telefónicas que casi podemos escuchar al otro lado. La actriz, la soprano, la creadora nos muestra ese presente y esa realidad que sucede sobre las tablas, y junto a la música, la expresión y la voz, surge la magia del arte escénico.“

El Diario, 14.11.2021, Irene Làzaro
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC
GRAN TEATRO CORDOBA

“Nicola Beller Carbone, de sublime y elegante interpretación. Su desbordamiento vital es contenido; está cercado en los silencios, concretos y de una sensibilidad acorde con el virtuosismo narrativo del estilo de Francis Poulenc.”

Diario de Cordoba, 14.11.2021, Andrea Simone
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC
GRAN TEATRO CORDOBA

“Elle, que fue magistralmente interpretada por la cantante y actriz alemana Nicola Beller Carbone, todo un ejemplo de eclecticismo expresionista. Se incorporó al personaje con tal grado de identificación en sus palabras que hacían que el espectador pudiera imaginar los reproches  de su amante al otro lado del teléfono en esta última conversación previa a la inevitable ruptura amorosa que viene mostrarse en esta ópera. “

Codalario, 19.11.2021, Jose Antonio Cantòn
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC
GRAN TEATRO CORDOBA
“¡Gran sorpresa ayer en la @Abaobilbaoopera! La Opera del Siglo XX celebra su ingreso triunfal en el Euskalduna y un animal escénico sacude al público”.”
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El correo, 18.02.2022, Isabel Urrutia Cabrera
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC / EINE FLORENTINISCHE TRAGÖDIE, ALEXANDR ZEMLINSKY
ABAO, BILBAO
“Nicola Beller Carbone, conteniéndose en momentos que tentarían a otras sopranos de su calidad a epatarnos con su instrumento, hizo un ejercicio de inteligencia vocal. Su técnica es impecable, y le permite regalarnos pianos, staccatos, vibratos, filados (ya me entienden) y todo aquello que lleva una carrera de canto conocer y una carrera artística, dominar. Pero sobre todo, Nicola Beller Cardone es musicalidad; hace mucho tiempo que en un escenario no escuchaba música en la interpretación de un cantante.””
Opera World, 20.02.2022, Joaquin Ferro
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC / EINE FLORENTINISCHE TRAGÖDIE, ALEXANDER ZEMLINSKY
ABAO, BILBAO

 “….asumió con matrícula de honor una experta Nicola Beller Carbone; en los recitativos de la amante despechada de La voix, donde Poulenc le hace recitar, declamar, cantar, desesperarse, llorar y añorar la antigua felicidad estuvo fantástica, con una dicción, acentos y modulaciones siempre cuidadas que también fueron sus señas de identidad en la Tragedia florentina. “

Opera Actual, 23.02.2022, José Miguel Balzola
LA VOIX HUMAINE, FRANCIS POULENC / EINE FLORENTINISCHE TRAGÖDIE, ALEXANDR ZEMLINSKY
ABAO, BILBAO

“Stimmliche wie darstellerische Urgewalt haftet auch “Elektra” Nicola Beller Carbone in androgyner Härte, glühender Wut und fieberweisser Ohnmacht an: Ein ausgehungertes Raubtier, das Axel Austs Strassenlook stimmig gekleidet und dem es mit wuchtigem, glasklaren Sopran nach Rache dürstet.”

Kronen Zeitung Klagenfurt, 19.09.2020,Irina Lino
ELEKTRA, RICHARD STRAUSS
STADTTHEATER KLAGENFURT

“Nicola Beller Carbone als in sich gekehrte, kopfgesteuerte Elektra mit sicheren Spitzentönen und zwischen Scheu, Scham und Attacke wechselnden Ausdruckslinien…”

Die Presse, 19.09.2020, Walter Gürtelschmied
ELEKTRA, RICHARD STRAUSS
STADTTHEATER KLAGENFURT

“Wenn Nicola Beller Carbone in der Titelrolle in die Tour fällt, ist das ein Fest!…. Ihr blickt man tief in ungeschminkte Augen bis ins verwundete Herz! ….. Diese Elektra ist auf Beller Carbone zugeschnitten! ….Und die Mörderpartie der Elektra gestaltet sie vom ersten bis zum letzten Ton ohne je schrill oder forciert zu klingen.”

www.klassikfavori.de, 20.09.2020, Sabine Weber
ELEKTRA, RICHARD STRAUSS
STADTTHEATER KLAGENFURT

«Nicola Beller Carbone, staturia ed elegante per voce e gesto, disegna con raffinatezza la traiettoria sentimentale della Marescialla , dall´ impeto amoroso iniziale alle malincoliche riflessioni sul tempo che scorre, alla resa finale di una diva sul viale del tramonto. Toccanti i suoi accenti nel famoso monologo sul Tempo (“Die Zeit , die ist ein sonderbar Ding”)«

Teatrionline.com, 20.11.2019, Stefano L.Borgioli
DER ROSENKAVALIER, RICHARD STRAUSS
STAATSTHEATER WIESBADEN

«Aufs Ballet kann man verzichten, wenn man Annas multiple Persönlichkeit mit einer so multipel talentierten Künstlerin wie Nicola Beller Carbone besetzen kann. Sie bringt in ihre Partie Erfahrung in Kabarett und Tanz ein, lässt ihre Stimme zwischen Chanson und Oper chargieren, schwingt elegant das Tanzbein oder mutiert zum Maschinen-Menschen»

Wiesbadener Kurier, 4.3.2019, Volker Milch
DIE SIEBEN TODSÜNDEN, KURT WEILL
STAATSTHEATER WIESBADEN

“Nicola Beller Carbone si immedesima nella giovane Anna …. Tutto lo spettacolo fa leva sulle doti vocali e sulla recitazione brillante del soprano che canta, sospesa fra opera e cabaret, balla elegante e marcia statuaria fra un cambio di costume e un altro. Una performance esuberante che ci guida in questa breve saga di perdizione.”

Teatri Online, 19.3.2019 , Stefano L.Borgioli
Die sieben Todsünden, Kurt Weill
Staatstheater Wiesbaden

„Die alles entscheidenden Partie der Anna, die für ihre Eltern und Brüder als Tänzerin in grossen Städten das Geld verdienen soll, findet in Nicola Beller Carbone dazu ideale Darstellung, chargierend zwischen Singen und Sprechen, gelenkig und gewandt in der Bewegung.“

FAZ, 4.März 2019, Guido Holze
Die sieben Todsünden, Kurt Weill
Staatstheater Wiesbaden

“Aufs Ballett kann man verzichten, wenn man Annas multiple Persönlichkeit mit einer so multipel talentierten Künstlerin wie Nicola Beller Carbone besetzen kann. Sie bringt in ihre Partie Erfahrung in Kabarett und Tanz ein, lässt ihre Stimme zwischen Chanson und Oper changieren, schwingt elegant das Tanzbein oder mutiert zum Maschinen-Menschen.”

Main-Spitze, 4. März 2019, Volker Milch
Die sieben Todsünden, Kurt Weill
Staatstheater Wiesbaden

«Das Geheimnis der Liebe sei grösser als das Geheimnis des Todes, sagt Salome. Nicola Beller Carbone singt das nicht nur, sie lebt es mit allen Fasern eines jungen, schlanken, agilen Körpers, mit der Mimik einer görenhaften, verwöhnten, grausamen, verletzten, ungeliebten Kindfrau, der die stimmlichen Mittel wie selbstverständlich zu Gebote stehen. Mag es auch keine grosse Stimme sein: An Strahlkraft, Expressivität und Durchhaltevermögen fehlt es ihr nicht. Dem Straussschen Idealbild einer 16-Jährigen mit Isolde- Stimme kommt Nicola Beller Carbone jedenfalls denkbar nahe

NZZ, 18.02.2012, Marianne Zeiger Vogt
Salome, Richard Strauss
Oper Zürich

»Den entscheidenden Anstoss erhält der Abend aber durch Nicola Beller Carbone als Salome. Nicht weil sie den Herren Zuschauern wie eine Exhibitionistin ihre Blösse zeigen darf, sondern weil sie ihre Partie entschieden expressionistisch auffasst – und stimmlich hat sie alle Möglichkeiten dazu.»

NZZ, 2.10.2012, Peter Hagmann
Salome, Richard Strauss
Oper Zürich

»La grande, la belle, l’unique, la formidable Nicola Beller Carbone ne pouvait être un meilleur choix.
Inquiétante, d’un magnétisme puissant, elle entre entièrement dans le personnage dès la première mesure, telle une tigresse meurtrière sans remords car délivrée de ses inhibitions, l’enlève dans une sorte d’assomption vocale et théâtrale, domine sans peine les ambitus de sa partition et reçoit une ovation à l’aune de son talent: immense.»

Podcast journal, 27.4.2015, Christian Colombeaud
Lady Macbeth Mzensk Dimitrij Shostakowitsh
Opera de Montecarlo

«La gran Beller Carbone: Hay personajes que le van como anillo al dedo y la gran duquesa de Gerolstein es uno de ellos. Da gusto ver a una actriz, escuchar a una cantante no siendo la mezzo que el papel exige y entenderla perfectamente en los diálogos hablados.»

Beckmesser, 16.3.2015, Gonzalo Alonso
La gran duquesa de Gerolstein, Jacques Offenbach
Teatro de la Zarzuela

«Esta fuè la noche de Nicola Beller Carbone omniprennete en el escenario mas de dos horas y media, la cantante desgranò el riquisimo muestrario de sus capacidades vocales….Interpretò pasajes de inmensa dulzura y tambien otros en los que increpò sin miramientos a hombres corpulentos …. supo encontrar el tono, la potencia y el color de la voz adecuados para cada ocasion ; la generosidad de su interpretacion vocal iguala la de su actuacion dramatica»

Opera Actual, 24.4.2016, Jaime Estapà
Lady Macbeth of the Mtsensk district, Dmitri Shostakovich
Opera de Montecarlo

«Elle promène dans Yü Pei sa silhouette filiforme et élancée… Son chant est tout dans l’expressivité, plus que dans la démonstration, elle est une interprète avant tout et soigne les couleurs et les variations de l’expression, avec de jolis accents. Et quelle démarche en scène ! quelle figure ! Et quelle justesse!»

Le blog du Wandrer, 31.1.2018
Der Kreidekreis,Alexander Zemlinksy
Opèra de Lyon

«Elle exprimée avec une totale maîtrise vocale et une intelligence dramatique traduisant l’osmose la plus totale entre l’artiste et son personnage»

Webtheatre.com, 24.1.2018, Jaime Estapà
Der Kreidekreis, Alexander Zemlinsky
Opèra de Lyon

«Nicola Beller Carbone…..Su prestancia en escena son sólo comparables con la potencia y calidad de su voz, rica en armónicos y con un fiato extraordinario, que le permitieron desarrollar perfectamente ambos papeles, particularmente en la segunda ópera, en la que se le exigen versatilidad artística y unas condiciones físicas que no desmerecían de las vocales.»

 

Operaworld 5.12.2018, Gonzalo Roldàn Herencia
Der Diktator, Ernst Krenek / Der Kaiser von Atlantis, Viktor Ullmann
Teatro de la Maestranza 2018

«La soprano alemana Nicola Beller Carbone puso a disposición del papel de Eurydice unos medios vocales de mayor peso de los habituales, en los que la densidad del registro medio aportó una nueva dimensión a la particella»

La voz del sur 19.1.2019, Joauqin Piñeiro
Orphèe et Euridice, Christoph Willibald Gluck
Teatro Villamarta Jerez

«Nicola Beller Carbone spuckt ihm Kundrys “ich will nicht” vor die Füße. Beller Carbone ist eine blendend schöne Kundry, ist dunkle Verführung in der Stimme.»

SZ, 30.3.2018, Egbert Tholl
Parsifal , Richard Wagner,
Tiroler Festspiele Erl

«Nicola Beller Carbone…..Su prestancia en escena son sólo comparables con la potencia y calidad de su voz, rica en armónicos y con un fiato extraordinario, que le permitieron desarrollar perfectamente ambos papeles, particularmente en la segunda ópera, en la que se le exigen versatilidad artística y unas condiciones físicas que no desmerecían de las vocales.»

Operaworld 5.12.2018, Gonzalo Roldàn Herencia
Der Diktator, Ernst Krenek / Der Kaiser von Atlantis, Viktor Ullmann,
Teatro de la Maestranza

« La soprano alemana Nicola Beller Carbone puso a disposición del papel de Eurydice unos medios vocales de mayor peso de los habituales, en los que la densidad del registro medio aportó una nueva dimensión a la particella »

La voz del sur 19.1.2019, Joauqin Piñeiro
Orphèe et Euridice, Christoph Willibald Gluck
Teatro Villamarta Jerez